Momigami

« Momigami » est bien plus qu’une simple photographie de coquelicot. C’est un voyage au cœur de la résilience et de la beauté fragile de la nature. Cette œuvre vous transporte dans un univers poétique où l’ordinaire se transforme en extraordinaire. Découvrez la force et la poésie qui émanent de ce coquelicot capturé dans « Momigami ».

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Momigami : L’histoire d’un coquelicot au cœur de la résilience

Bienvenue dans mon monde, un monde où l’ordinaire se transforme en extraordinaire, où chaque objet dévoile sa texture, sa résistance et sa singularité, voici « Momigami ». C’est au travers de ma série intitulée « Shitsukan » que je m’efforce de donner vie à l’ordinaire.

Oui, je l’avoue, j’ai un faible pour les mots japonais qui résistent à la traduction. Mais ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous infliger un cours de langue. Revenons plutôt à nos coquelicots.

Permettez-moi de vous présenter « Momigami ». Un nom aux sonorités exotiques qui fait référence à un type de papier japonais. Mais pas n’importe quel papier. Un papier froissé, qui malgré les plis et les torsions, conserve sa robustesse et sa force. Vous me suivez toujours ? Ne partez pas, ça devient intéressant.

Cette photographie raconte une histoire de fascination, de fragilité et de force, née d’une rencontre fortuite dans une prairie au vert presque surnaturel. Au centre de l’image, un coquelicot d’un rouge ardent qui vous saisit les tripes. Ce rouge, c’est l’essence même du coquelicot, sa vie, son éclat, sa flamme intérieure. Si vous regardez attentivement, vous pourriez même apercevoir le reflet de votre âme. Enfin, je plaisante… ou peut-être pas.

Le fond noir légèrement teinté de vert créé par la prairie magnifie ce rouge flamboyant. Soudain, au cœur de la quiétude de la prairie, le coquelicot prend des airs de samouraï, debout face au vent, prêt à défier l’éphémère.

C’est ici que le nom « Momigami » prend tout son sens. Tout comme le papier japonais, le coquelicot a été froissé, blessé, mais il résiste, fier et flamboyant. Un instant suspendu entre force et fragilité, une leçon de vie offerte par la nature.

Plongez dans l’univers poétique de Momigami

Je ne vais pas vous mentir, j’ai été subjugué. Oui, moi, l’artiste aguerri, j’ai été ému par cette simple fleur. Et chaque fois que je contemple cette photographie, je retrouve cette émotion brute, cette poésie qui résonne au plus profond de mon être. Et si vous me le permettez, je souhaite partager cette émotion avec vous.

Ne vous méprenez pas, cette photographie n’est pas simplement une image. C’est une porte ouverte sur un univers où l’ordinaire se mêle à l’extraordinaire, où le banal se transforme en poésie. Elle vous invite à regarder le monde avec un autre regard, à prendre le temps d’apprécier la beauté qui se cache dans chaque détail, chaque texture, chaque pli.

Et si vous êtes encore là, c’est que vous aussi avez été touché. Vous avez vu la beauté dans ce coquelicot, dans cette texture qui raconte une histoire, dans ce rouge vibrant qui vous fait vibrer. Alors, n’hésitez plus. Accueillez cette émotion chez vous, laissez-la vous inspirer chaque jour. Laissez « Momigami » vous conter son histoire, son hymneà la vie et à la résilience. En la regardant, peut-être ressentirez-vous cette même force vibrante qui m’envahit à chaque fois que mes yeux se posent sur elle.

Et c’est là toute la magie de l’art, n’est-ce pas ? Le pouvoir de nous connecter à des émotions universelles à travers des objets simples, ordinaires. Ce coquelicot, c’est vous, c’est moi, c’est nous. Fragile mais robuste. Éphémère mais mémorable. C’est la vie dans toute sa splendeur.

On pourrait dire que je suis un photographe, mais je préfère me voir comme un explorateur de l’âme, un tisseur de liens entre vous et l’essence de la vie. Chaque photographie est un voyage, une aventure, une découverte. Et « Momigami » incarne la quintessence de cette philosophie.

La beauté fragile et résistante d’un coquelicot capturée

Oh, et pour ceux qui se demandent pourquoi j’ai nommé cette photographie d’après un papier japonais, c’est simple : j’aime les sushis. Non, je plaisante… ou peut-être pas. Plus sérieusement, le papier « Momigami » représente pour moi cette dualité entre robustesse et fragilité, entre simplicité et complexité. Exactement comme notre coquelicot.

En choisissant d’acquérir cette œuvre, vous ne faites pas qu’acheter une simple photographie. Vous faites l’acquisition d’une partie de moi, de mon art, de ma vision du monde. Vous faites l’acquisition d’une histoire, celle d’un coquelicot, une simple fleur des champs devenue l’héroïne d’un instant capturé.

Alors, qu’attendez-vous ? Rejoignez-moi dans cette aventure, laissez-vous transporter par l’histoire de « Momigami ». Qui sait, peut-être que à travers elle, vous découvrirez une part de vous-même que vous ne soupçonniez pas.

Embarquez dans ce voyage, laissez la force du coquelicot s’immiscer dans votre quotidien, apportant avec elle une dose de beauté, de résilience et de courage. Après tout, n’est-ce pas ce dont nous avons tous besoin dans ce monde effréné ?

Et pour conclure sur une note plus légère, souvenez-vous toujours que même les coquelicots ont des jours moins lisses. Pourtant, ils sont toujours là, magnifiques et résistants. Alors, pourquoi pas nous ? Prenez soin de vous, et n’oubliez pas de vous arrêter de temps en temps pour admirer les coquelicots.

Informations complémentaires

Taille de la photo

Grand (40×60 cm), Moyen (20 x 30 cm)

Papier

Hahnemühle PhotoRag Baryta 315g

Finition

, , ,

Ambiances

,

Famille

Flore, Proxy

Format

3/2

Série

Shitsukan

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